Réduisons le trafic aérien

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Réduisons le trafic aérien

Ces dernier mois, la crise sanitaire a mis un coup d’arrêt au secteur aéronautique. Les recettes se sont effondrées de 80% au 1er semestre 2020, comparé à l’année dernière. La croissance du trafic aérien sur laquelle mise le gouvernement est incompatible avec le respect des engagements climatiques de la France et pose la question de la restructuration de la filière autour d’un objectif écologique. 
Pour sortir de notre dépendance aux énergies fossiles et rester sous la barre des 2°C de réchauffement à l’horizon 2100, il est indispensable de réduire drastiquement le trafic aérien. Par heure, par kilomètre et par personne transportée, l’avion est le mode de transport le plus émetteur de gaz à effet de serre (GES). Sur un vol national, l’avion est 15 fois plus émetteur en CO² que le train, 7 fois plus que le bus et presque 2 fois plus que la voiture. Il faut y ajouter d’autres impacts contribuant au réchauffement climatique : trainées de condensation, ozone, nébulosité induite…

Et à Rennes?

A Rennes, le 15 juin dernier, des militant.e.s d’Alternatiba-ANV COP21 Rennes, Extinction Rebellion Rennes et Youth for Climate se sont mobilisé.e.s devant l’aéroport de Rennes Saint-Jacques afin de dénoncer la reprise des travaux de rénovation des pistes et de demander : 
  • La réduction du transport aérien, notamment via la fermeture des liaisons intérieures réalisables en train.
  • Une plus grande prise en considération de riverain.e.s subissant les nuisances des avions
  • Le soutien aux travailleurs.se.s de l’industrie aéronautique
  • L’abandon des projets d’extension d’aéroports à Roissy- Charles de Gaulle (terminal 4), Marseille, Nice, Lille…
La région Bretagne s’est engagée à développer l’aéroport de Rennes, à contre-courant du besoin urgent de lutter contre le dérèglement climatique. Par ailleurs, nous avons découvert avec stupeur dans le numéro d’octobre-novembre de Rennes Métropole magazine un document de promotion de Rennes Dinard Aéroport pour ses lignes intérieures au départ de Rennes et à destination de différentes villes de France. Ainsi au départ de l’aéroport de Rennes, Easyjet a annoncé une ligne saisonnière vers Toulouse, Genève, Lyon et Nice pour les fêtes de fin d’année. Air France, quant à elle, a prévu des vols vers Marseille, Nice, en plus de Lyon et Toulouse. Nous estimons que la promotion de ces vols est en parfaite contradiction avec les discours du gouvernement, tout comme ceux de Rennes Métropole, sur ses orientations écologiques. A l’heure de la crise écologique et sanitaire, nous devons faire décroître le trafic aérien et aider à la reconversion des salarié.e.s de ce secteur pour permettre une transition soutenable et juste. 
Nous prévoyons des actions dans les mois à venir afin de sensibiliser et mobiliser les citoyen.ne.s sur la nécessité de réduire le trafic aérien.
Pour plus d’informations sur la campagne nationale : https://alternatiba.eu/marchons-sur-les-aeroports/

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Proposition de loi “sécurité globale” : une menace liberticide pour les militant.e.s

 

Deux ans jour pour jour après le début du mouvement des Gilets Jaunes (17 novembre 2018) et un mois après la sortie du film de David Dufresne sur les violences policières (Un pays qui se tient sage), une proposition de loi relative à la sécurité globale arrive à l’Assemblée nationale ! Elle est proposée par plusieurs député.e.s du groupe La République en Marche (Jean‑Michel Fauvergue, Alice Thourot, Christophe Castaner, Olivier Becht, Yaël Braun-Pivet, Pacôme Rupin) et sera en discussion du 17 au 20 novembre.

Nous ne pouvons pas laisser passer cette loi sans réagir. Nous appelons à un rassemblement ce mardi 17 novembre à partir de 10h30, place de la République (Rennes) pour réfléchir ensemble à la lutte contre cette loi ! Retrouvez l’événement Facebook ici.

 

Cette proposition de loi s’inscrit dans la pratique du maintien de l’ordre développée en France depuis 2015 et qui a pour but de dissuader la population de participer à des manifestations par des techniques d’épuisement psychologique (nasse, gazage, fouilles…) ou par l’utilisation de la force (charges, LBD, grenades de désencerclement…).

Plusieurs articles de cette loi portent clairement atteinte au droit à l’information, au respect de la vie privée et à la liberté de réunion. De plus, cette proposition sera examinée en procédure accélérée et empêche de facto son examen approfondi et l’information des citoyen.ne.s.

L’article 21 sur les « Caméras individuelles » élargit leur utilisation puisque « les images captées et enregistrées au moyen de caméras individuelles peuvent être transmises en temps réel au poste de commandement du service concerné et aux personnels impliqués dans la conduite et l’exécution de l’intervention ». Auparavant, les images ne pouvaient être utilisées qu’à posteriori. Cet article ouvre la voie à la vidéosurveillance généralisée et notamment à la reconnaissance faciale.

L’article 22 sur les « Caméras aéroportées » autorise les forces de l’ordre à utiliser des drones et leurs images « dans l’exercice de leurs missions de prévention des atteintes à la sûreté de l’État, la défense ou la sécurité publique et de prévention, de recherche, de constatation ou de poursuite des infractions pénales », une disposition qui pourrait dissuader de nombreux.ses citoyen.ne.s de participer à des manifestations et rassemblements.

L’article 24 prévoit des sanctions pouvant aller jusqu’à un an d’emprisonnement et 45 000€ d’amende « le fait de diffuser, par quelque moyen que ce soit et quel qu’en soit le support, dans le but qu’il soit porté atteinte à son intégrité physique ou psychique, l’image du visage ou tout autre élément d’identification d’un fonctionnaire de la police nationale ou d’un militaire de la gendarmerie nationale lorsqu’il agit dans le cadre d’une opération de police. » Cet article conduira à empêcher la diffusion d’images de violences policières et plus largement toute captation d’images de policiers et gendarmes, en violation totale avec la liberté d’être informé.e.

De nombreuses associations, avocat.es, journalistes et membres de l’opposition se sont déjà exprimées afin de dénoncer cette proposition de loi qui représente un risque majeur pour la liberté d’informer, le respect de la vie privée et le droit de manifester. 55 organisations ont cosigné une lettre « Contre la loi ”sécurité globale, défendons la liberté de manifester ».

Parmi les nombreuses réactions :

La Défenseure des droits, Claire Hédon, a publié un avis jeudi 5 novembre considérant que « cette proposition de loi soulève des risques considérables d’atteinte à plusieurs droits fondamentaux, notamment au droit à la vie privée et à la liberté d’information. »

La CNCDH (Commission nationale consultative des droits de l’Homme) a publié un communiqué de presse vendredi 13 novembre « s’alarmant du contournement des processus démocratiques et de la banalisation des exceptions » à l’état de droit.

Le SNJ (Syndicat national des journalistes) et de nombreuses sociétés de journalistes craignent une atteinte grave à la liberté d’informer en renonçant par exemple à diffuser des images de manifestations ou d’interpellations brutales. Retrouvez la tribune parue dans Le Monde ici.

Nous appelons donc à manifester mardi 17 novembre 2020 pour montrer notre opposition à cette loi ! Nous comptons sur vous pour participer aux prises de parole, aux cercles d’échanges émotionnels et stratégiques, aux présentations des différents collectifs, aux initiatives artistiques, et à toute forme d’expérience démocratique et vivante. Pour les personnes qui ne peuvent pas se déplacer à cet horaire, vous pourrez participer à distance, restez connecté·es ! Vous pouvez également interpeller les député.e.s sur le site de La Quadrature du Net.


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Rassemblement contre la loi de sécurité globale et la réintoxication du monde !

Nous appelons à un rassemblement intersectionnel à Rennes le 17 novembre 2020, à 10h30, à République. Nous répondons à l’appel contre la réintoxication du monde de Notre-Dame-Des-Landes et à l’appel national contre la loi “sécurité globale”.
Deux ans après le début du mouvement des Gilets Jaunes (17 novembre 2018), et malgré le souffle que cette mobilisation historique a enclenché, la situation démocratique s’est empirée. L’état d’urgence exceptionnel se mue en un état de normalité qui nous prive de nombre de nos libertés au profit d’un État policier (à l’image de la proposition de loi “sécurité globale”) et industriel. 
Face à cette situation, nous sommes désabusé∙e∙s, tristes et en colère, et nous nous mobiliserons contre les mesures gouvernementales, contre la ré-intoxication du monde (suite à l’appel de Notre-Dame-Des-Landes) et contre un État policier (suite à l’appel national “Non à la loi de Sécurité Globale“), pour entreprendre les changements nécessaires à une transformation profonde de notre société et pour intensifier les réseaux de solidarité.  
Conscient∙e∙s de la gravité de la situation liée à l’épidémie de Covid-19, nous invitons au respect des précautions sanitaires pour protéger chacun∙e des risques de contaminations. La déclaration du rassemblement a été faite en préfecture.
Retrouvez les textes des prises de parole qui ont eu lieu lors du rassemblement :

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Contre les oppressions et la destruction du vivant, réinventons des imaginaires collectifs !

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Sortie conviviale à la Frisnière – Octobre 2020

Le 10 octobre des militant.e.s d’Alternatiba Rennes sont allées découvrir le chantier participatif de la ferme de la Frinière à Cesson Sévigné ! Qu’est-ce que ce lieu a de particulier ? C’est un ancien corps de ferme que Nathan, architecte du projet, restaure depuis 4 ans avec des bénévoles selon des techniques anciennes, avec les matériaux présents sur le site et le moins d’impact possible sur l’environnement. Là bas le béton n’a pas sa place ! Au programme de la journée : réalisation d’un enduit sur un mur en bauge (terre crue).
Pour finir nous sommes allé.e.s visiter tout le contraire de ce qu’il se fait à la Frinière : le chantier ViaSilvia. Il s’agit d’une nouvelle ZAC sur Cesson Sévigné qui serait responsable au minimum de 800 millions de tonnes de CO2 pour le bâti ! Construire n’est pas neutre pour la planète entre l’imperméabilisation des sols que cela entraine et le bilan carbone du chantier en lui même. Il est bien sur nécessaire de pouvoir se loger mais il est possible de construire autrement, de manière plus durable comme nous avons pu le découvrir à la Frinière !


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LE REPORT DE LA COP26 NE DOIT PAS SERVIR D’ALIBI – MONTRONS L’URGENCE CLIMATIQUE SUR CLIMATOSCOPIE

Du 9 au 20 novembre, les États auraient dû faire face à leur engagement de limiter le réchauffement climatique à 1.5C° lors de la COP26, reportée en 2021 à cause de la pandémie. Mais la Covid-19 ne doit pas servir d’alibi aux États pour justifier l’inaction climatique. Jusqu’au 20 novembre, cartographions les effets des dérèglements climatiques que nous subissons
quotidiennement partout en France sur la carte collaborative Climatoscopie et montrons que l’action des États ne peut être reportée.  Développé dans le cadre du projet européen TeRRIFICA, Climatoscopie est un outil de cartographie collaborative en ligne qui permet à chacun.e d’identifier des lieux où les effets du changement climatique se font sentir : http://climatoscopie.terrifica.eu

L’outil permet également de noter des bonnes pratiques, ou de proposer des solutions d’atténuation ou d’adaptation aux changements climatiques dans les endroits problématiques. Habitant.e.s, touristes, travailleur.euse.s, peuvent s’inscrire sur la plateforme puis désigner des points selon 5 catégories d’effets : la gestion de l’eau, le vent et les phénomènes extrêmes, la qualité du sol, la température et la qualité de l’air. Pourquoi ? Tout d’abord, pour documenter et visualiser localement les effets des changements climatiques grâce aux savoirs locaux et expérientiels de celles et ceux qui les vivent. Cette visualisation permettra non seulement d’alerter les décideur.euse.s de l’ampleur des effets du changement climatique, mais aussi d’inviter des citoyen.ne.s dans des combats locaux pour trouver et mettre en place des solutions locales aux changements climatiques. À l’heure où chacun.e d’entre nous constate et ressent l’urgence climatique, la pandémie de Covid a poussé les États à reporter la COP26 à 2021. Mais le climat n’attend pas : restons mobilisé.e.s et montrons aux gouvernants que nous ne les laisserons pas reporter l’action climatique. Témoignons de l’urgence climatique sur Climatoscopie : http://climatoscopie.terrifica.eu


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Stopper Amazon avant qu’il ne soit trop tard – Action à Rennes

Du 26 novembre au 4 décembre, de l’ancien Black Friday au nouveau Black Friday, nous allons envoyer un message clair à Emmanuel Macron : “Stopper l’expansion d’Amazon avant qu’il ne soit trop tard”.
Avec le soutien du Président de la République, Amazon construit plus de 20 nouveaux entrepôts dans le pays et obtiendra bientôt un monopole sur tout un pan de notre vie, comme aux États-Unis.
A l’heure où les commerçants de proximité n’ont jamais été autant menacé par la concurrence d’Amazon, ces nouveaux entrepôts les achèveront. Les conséquences seront dramatiques : plus de 100 000 destructions d’emplois, 2 milliards de produits importés supplémentaires par an, nous menant tout droit vers le chaos climatique, et toujours plus d’évasion fiscale.
Le Black Friday c’est le jour où Amazon réalise son plus gros chiffre d’affaires dans le monde et en France. Cette année, gâchons lui la fête : stoppons Amazon avant qu’il ne soit trop tard !

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Table ronde : La Non Violence. Quoi? Comment? Pourquoi? avec Sylvie Ollitrault

En présence de Sylvie Ollitrault Directrice de recherche au CNRS, politiste, concentrée le militantisme écologiste, le rôle des ONG et les questions de rapport à la violence/non violence et des membres d’Alternatiba et d’ANV COP21 Rennes, venez comprendre, questionner et mettre en perspective la stratégie non violente.
Programme de la soirée :
19h-19h30 : Extraits et analyses de films par les intervenant.e.s (Selma d’Ava Duvernay, Irrintzina, retours vidéos d’actions ANV)
19h30-20h : Comment se mobiliser en temps de crise ?
20h-20h45 : Questions du public et échanges sur les perspectives de la non violence dans les différentes luttes.
La table ronde sera diffusée en direct sur notre page facebook et notre site internet puis disponible en replay sur notre chaine peertube.

Postez vos questions en commentaires et nous les retransmettrons au moment des échanges.

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Accueil des nouveaux.elles – Décembre

Confinement oblige, nous avons organisé le dernier accueil des nouveaux.elles en ligne le 5 novembre dernier. L’engagement militant est toujours présent puisque nous avons pu dialoguer avec plusieurs personnes dans un cadre permettant des échanges approfondis et intéressants.

La lutte pour le climat et la justice sociale ne s’arrête pas ! Si tu es intéressé.e, viens échanger avec des militant.e.s rennais.e.s lors de notre prochain accueil des nouveaux.elles, le jeudi 3️⃣ décembre ! Rejoins-nous en ligne ici à partir de 1️⃣8️⃣h3️⃣0️⃣ : https://meet.jit.si/accueilnvxalternatibarennes


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Retour sur la composition pénale de deux décrocheurs rennais

 

Deux militants d’Action Non-Violente COP21 Rennes sont passés en composition pénale le jeudi 15 octobre dernier pour vol en réunion et refus de prélèvement ADN. Elle faisait suite à une action de réquisition du portrait d’Emmanuel Macron à la mairie de Betton en 2019 et à une perquisition en juillet dernier.

Lors de cette composition pénale, le procureur a proposé aux deux militants ANV-COP21 de faire 2 stages de citoyenneté et de payer des dommages et intérêts pour la réquisition du portrait.  Les militants ont refusé cette proposition. Ils revendiquent leurs droits au vu de l’urgence sociale et climatique et rappellent qu’ANV-COP21 s’engage à rendre ces portraits dès qu’Emmanuel Macron aura tenu ses engagements écologiques et sociaux.

 Les procès Décrochons Macron, la seule tournée pas annulée ! 

Les actions #DécrochonsMacron ont débuté en février 2019 et les procès des militant.e.s s’enchaînent depuis celui du 28 mai 2019 à Bourg-en-Bresse. 150 portraits ont été réquisitionnés afin de dénoncer l’inaction climatique et sociale du gouvernement français !

A l’échelle de la France, Emmanuel Macron s’était engagé fin juin à reprendre 146 des 149 propositions de la Convention citoyenne pour le climat mais la publication du budget 2021 et les différentes déclarations des ministres et du président sur l’aviation, la publicité, le déploiement de la 5G ou encore le transport ferroviaire démontrent leur hypocrisie et leur manque de volonté pour engager des politiques courageuses. Iels s’apparentent plus à des incendiaires qu’à des champion.ne.s du climat.

A l’échelle européenne, les négociations sur le budget pour 2021-2027 s’accélèrent or c’est le conseil européen qui valide ce budget. Certain.ne.s chef.fe.s d’Etat et de gouvernement dont Emmanuel Macron en tête de fil, bloquent les négociations sur l’adoption d’une taxe sur les transactions financières qui augmenterait le budget de l’UE de plus de 50 milliards d’euros et permettrait de donner des moyens aux systèmes de santé, à la préservation du climat et à l’emploi (taxant seulement 0,1 % d’actions et 0,01 % de produits dérivés et d’obligations). En réaction à ce blocage, le rapporteur du budget pour le Parlement européen, Pierre Larrouturou, a entamé une grève de la faim le mercredi 28 octobre pour soutenir la mise en place de cette taxe.

Les seules réponses apportées aux actions des décrocheur.se.s sont des procédures judiciaires contre ces militant.e.s engagé.e.s pour lutter contre le dérèglement climatique. Néanmoins, le 27 octobre dernier, le tribunal de grande instance d’Auch a relaxé 5 décrocheur.se.s de portrait au nom de la liberté d’expression. Le tribunal a estimé que cette action non-violente contribue au débat d’intérêt général sur l’urgence climatique – et est donc légitime au nom de la liberté d’expression. Mais dans toute la France, on dénombre pas moins de 35 procès passés ou à venir : le 13 novembre à Valence, le 17 décembre à Agen, le 22 janvier 2021 à Bordeaux, le 27 janvier 2021 à Lyon…

Soutien aux décrocheur.se.s !

Nous condamnons ces procédures injustifiables et soutenons pleinement les personnes interpellées à Rennes et partout en France. Pour l’instant aucun procès n’est annoncé mais des frais d’avocats à hauteur de 600 euros ont été engagés par l’association pour les gardes à vue et compositions pénales des décrocheurs rennais. Soutenez-les en faisant un don défiscalisé à Alternatiba Rennes ! Il est grand temps de mettre le gouvernement face à son inaction et son hypocrisie !

Pour faire un don, rendez-vous sur Hello Asso !
Envoyez vos messages de soutien sur les réseaux sociaux et arborez le décor dédié sur votre photo de profil Facebook !
Pour plus d’informations sur les procès à venir et le bilan de Macron, rendez-vous sur le site dédié.

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Table ronde : Les enjeux de l’implantation d’Amazon en France. La surproduction et le dropshipping

🗣 Les enjeux de l’implantation d’Amazon en France. La surproduction et le dropshipping🗣 en direct le 1️⃣9️⃣/1️⃣1️⃣ à 1️⃣9️⃣h


Rejoignez nous pour écouter et poser vos questions à Pierre Crampon membre d’Attac Quimper, Thierry Penard professeur d’économie à l’Université de Rennes-I et un.e membre du syndicat Solidaires 35❗️

Alors que le monde a été paralysé face à la pandémie de covid 19 😷, Amazon a continué la vente de produits non essentiels mettant en danger la vie de ses salarié.es 👷👷‍♀️ dans les entrepôts 📦et augmentant ses profits 💸 face à des petits commerces à l’arrêt. Pourtant la problématique d’Amazon ne date pas de la crise sanitaire, des entrepôts et plateformes de livraison apparaissent un peu partout en France et les mobilisations ✊ aussi ❗️ Les Amis de la Terre, ANV COP21, Attac et Union Solidaire luttent depuis deux ans pour ❌stopper ❌ l’implantation de ce géant d’internet 💻.

Le lien du direct sera transmis sur cet article le jour J. Posez vos questions en commentaire, nous les transmettrons à la fin de l’émission!

Le sujet est on ne peut plus d’actualité! Les librairies et autres commerces de proximité fermés, Amazon sort grand gagnant de la crise !
Plus d’infos sur la campagne en cours
🧐https://www.amisdelaterre.org/campagne/amazon-surproduction/
https://www.facebook.com/events/403908293944588

 


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Je signe la pétition contre l'agrandissement de l'aéroport de Rennes! Lancée le 3 février 2020.

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